Le plus grand atelier collaboratif d’Europe a ouvert ses portes le 3 mai à Lille, dans le quartier des Bois-Blancs.
Cet espace de fabrication collaborative ouvert à tous propose 150 machines (impression, découpe, peinture…) et du savoir-faire pour concrétiser les projets. Voilà un lieu surprenant pour qui n’est pas un « maker », c’est-à-dire un bricoleur nouvelle génération maniant l’imprimante 3D et la découpe laser. C’est un espace de 2 400 m2 avec 150 machines à la disposition des abonnés qui peuvent être des particuliers, des étudiants (un partenariat a été conclu avec l’Université catholique de Lille), des start-up (un partenariat existe avec Euratechnologies), des artistes, des artisans et même des enfants à partir de 8 ans… Tout le monde pourra concrétiser ses idées de métal, de bois, de plastique ou de tissu dans cet ancien lycée professionnel devenu lieu de toutes les créativités.
C’est le deuxième TechShop ouvert en France par Leroy Merlin après celui d’Ivry-sur-Seine, à la lisière de Paris, ouvert à l’automne 2015. Celui de Lille est le plus grand lieu de fabrication collaborative en Europe. Un troisième s’installera sur 800 m2 au sein de la station F, un projet géant financé par Xavier Niel et dédié aux start-up, en plein Paris. Le tout premier TechShop avait ouvert à San Mateo, dans la Silicon Valley, en Californie, dès 2006. Un succès. Depuis, la start-up a ouvert dix sites aux États-Unis. Quatre autres espaces ont ouvert en dehors des USA, développés, ceux-là en partenariat : à Abou Dabi, à Tokyo et désoormais deux en France dans le giron de Leroy Merlin.
L’investissement à Lille s’élève à 3 millions d’euros auxquels s’ajoutent 1 million d’euros porté par l’ICAM afin d’augmenter la capacité technique du site. Pas question de rentabilité ici. « J’ai l’espoir de ne pas perdre d’argent dans cinq à dix ans », explique Stéphane Calmes, directeur du projet. L’objectif est ailleurs. « Nous apportons de l’innovation, de nouveaux usages. Ça crée de la valeur pour le territoire qui est autour », insiste Pascal Malfoy, directeur général délégué de Leroy Merlin France.
Cette attention de Leroy Merlin France aux nouvelles pratiques lui permet également d’affiner son offre. Sans compter que, selon Stéphane Calmes, « l’âge moyen de l’accession à la propriété atteint 41 ans. Il était de 29 ans il y a 20 ans. La clientèle de Leroy Merlin vieillit. Sachant que les achats pour la maison sont à leur maximum vers 50 ans et que les investissements dans ce domaine s’arrêtent à 60 ans, nous essayons de conquérir des clients plus jeunes. »
Les porteurs du projet expliquent que « les imprimantes 3D, l’économie du partage, les communautés, la personnalisation, la réparation… sont de vraies tendances mondiales. Le mouvement des « makers » bouscule certains codes et ceux de nos métiers ». « Nous avons envisagé de nous lancer seuls », explique Stéphane Calmes, directeur du projet. « Mais nous aurions perdu beaucoup de temps. » Le leader français de l’aménagement et de l’habitat s’est donc allié à l’entreprise américaine et a créé une filiale dédiée, Ateliers Leroy Merlin, qui prévoit d’ouvrir un total de 5 TechShop en France « à l’horizon 2, 3, 4, 5 ans » en fonction des opportunités.
Mais à quoi ça sert ? La réponse est on ne peut plus ouverte. Avec 150 outils et machines de niveau professionnel, presque tout est possible : construction d’un meuble, réparation d’un vélo, peinture d’un portail, réalisation d’un prototype…
Comment ça fonctionne? Le TechShop est ouvert sept jours sur sept, de 9h à 22h30. « Il faut voir le TechShop comme une salle de gym », se plaît à comparer Stéphane Calmes, le directeur du projet. Vingt-cinq personnes se relaient pour apporter les conseils nécessaires. Des formations « Start », de 2 heures à 4 heures, sont obligatoires avant d’utiliser certaines machines. Vous pouvez amener votre matière (bois, tissu, acier…) ou l’acheter sur place.
Combien ça coûte? Plusieurs formules sont proposées (100 € l’abonnement d’un mois, 60 € par mois pour un abonnement d’un an). Compter 24 € de l’heure pour les formations. Des tickets à la journée sont aussi disponibles.
(source = la voix du nord)
Bonsoir
je ne sais pas si c’est le bon endroit de poster mon commentaire ou non ?
Peut-on travailler ensemble sur un projet collaboratif ?
Tenter de résoudre un problème qui touche notre planète par exemple .
Y’a t-il des bénévoles , des inventeurs qui peuvent être intéressé ?
J’aimeJ’aime
Bonjour tous le monde
Avec tous ces incendies intenses qui ont ravagés dernièrement nos forets et qui surpassent de loin les moyens mobilisés pour les combattre , ne faut-il pas agir autrement : au lieu de les combattre et d’essayer de les éteindre directement , essayer plutôt de créer des conditions convenables pour les étouffer .
Pour étouffer un feu – comme annonce les experts – il faudra faire diminuer le taux d’O2 a un degré inférieure à 15 % , et ce feu va s’étouffer et s’éteindre automatiquement , pour ce faire je propose de pomper le CO2 qui se dégage de ces incendies et s’élève dans les hauteurs , le pomper et le faire revenir aux alentours des arbres et réduire ainsi le taux d’oxygène qui alimente les feux et leur donne vie.
Des robots conçus spécialement pour ça , et qui peuvent fonctionner dans des conditions extrêmes , ne peuvent-ils pas assumer cette tache ? aussi l’énergie nécessaire a leur fonctionnement ne peuvent-ils pas l’extraire directement de ces flammes ? d’ailleurs toutes ces flammes , c’est une grande énergie perdue , pourquoi ne pas en profiter , par un moyen approprié , pour faire fonctionner ces robots .
Je me demande si c’est faisable ou pas ?
Cordialement
J’aimeJ’aime
2 – Lors des derniers incendies catastrophiques survenus en Australie , plus d’un milliard d’espèces animales ont succombé suite à ces incendies , la plupart ont été brûlés vif !
Alors , concernant les grandes forêts , pourquoi on ne crée pas des zones vides de toutes plantations , des zones de surfaces sous forme de disques vides de 1,2,3 ou 4 Ha repartis uniformément sur chacune de ces forêts , lesquelles serviront comme refuges aux animaux qui peuplent ces forêts en cas de grands incendies , mais qui serviront aussi comme refuges aux personnes se trouvant piégés dans ces forêts en feu , on a vu auparavant combien de personnes tués parce qu’ils se trouvaient encerclés par les feux de forêts et ne trouvaient aucun refuge au milieu de cet enfer – ceci a eu lieu au Portugal si je me rappel bien – .
Donc en créant ces zones vides , dépourvues de toute plantation , et en plaçant le long de la foret des signes indiquant la direction de la zone vide la plus proche , on peut sauver des personnes dans de telles situation désastreuses , pour les animaux ils sauront l’emplacement de ces zones et ils les trouveront facilement , ils ont leurs manières et leurs méthodes de scruter l’environnement et de le mémoriser .
On peut équiper ces zones par des points d’eau , par des lieux d’atterrissages d’hélicoptères et par d’autres structures jugés indispensables pour porter aide aux personnes et éventuellement aux animaux dans ces situations …
J’aimeJ’aime
Bonsoir tout le monde,
Les rayons ultraviolets sont connus par leur effet stérilisant, les germes, bactéries et virus sont sensibles à ces rayons, alors pourquoi ne pas équiper les écoles, les administrations et tous les établissements publiques fréquentés par beaucoup de gens, équiper ces institutions par des lampes à ultraviolets, lesquelles seront allumées en dehors des durées d’activités de ces institutions ( quand toutes les personnes quitteront ces lieux ) ceci aura comme effet de désinfecter à moindre coûts, les surfaces et les zones atteintes par ces rayons, mais aussi l’air ambiant régnant dans ces institutions …
Cordialement
J’aimeJ’aime