Hypothèse d’énergie facilitée


PREMIER PARTIE

RÉSUMÉ DU PRINCIPE D’ÉQUILIBRE DE LA RÉACTION

L’ÉNERGIE ET LE TEMPS SE CONSTATENT AU PRÉSENT

NOUS N’AVONS JAMAIS PRODUIT D’ÉNERGIE

NOUS DÉCLENCHONS SES EFFETS POUR CONSTATER UN RÉSULTAT

> L’énergie d’un système est son action instantanée, qui se manifeste au présent.

> L’énergie a deux possibilités : se transformer en potentiel ou rester effective au présent.

> L’énergie ne peut-être créée ni détruite.

> L’unité d’énergie est le Joule (J), sans association d’unité de temps, car l’énergie est instantanée.

> En physique, la puissance est le travail fourni par l’énergie en une seconde.

> En physique, le travail est le résultat d’une puissance effective, supérieure à une seconde.

LA GRAVITÉ

La gravité est l’une des quatre forces fondamentales de l’univers, ce n’est pas l’énergie.

Elle existe grâce à l’existence de la masse au présent. (F en noir), est le poids de la charge.

Pour soulever une masse d’un poids (F) en Kg, nous avons deux possibilités :

> S’opposer directement à la force de gravité. Nous devons alors fournir un travail (T) égal (et opposé) au travail de la force de gravité T = (F*d) = (Fm*d). En ce cas F = Fm

> Ou comme sur les chémaci-dessus, équilibrer la force de gravité. Nous devons alors fournir un travail (T’) égal aux pertes mécaniques parfrottement. T’ =(Fm’*d)<(Fm*d)=(F*d). Lalevée est ainsi facilitée. Cependant c’est bien embêtant, car nous sommes obliger de préparer un contrepoids en hauteur.L’idéal serait d’éliminer la contrainte du contrepoids, en gardant l’équilibre de la gravité, grâce au système d’engrenages schématisé ci-dessous.

Fonctionnement : Si une charge est suspendue au treuil.

> Le câble est fixé au disque orange et au treuil, de façon diamétralement opposée et divisent le poids de la charge par 2.

> Les deux couples égaux et opposés, se retrouveraient alors équilibrés sur le porte-satellites vert. Il est mécaniquement impossible que les axes orange et mauves, tournent en sen inverse.

Cela détruirait le mécanisme. Toutes les pièces sont alors en équilibre, similaire aux systèmes à contrepoids.

> l’axe vert entraîner ait alors l’axemauve, sans s’opposer à la gravité et lever la charge en n’assumant que les pertes mécanique.

Pour réduire la rotation de l’axemauve, il faut diminuer le Ø des pignons satellites, par conséquence, augmenter le Ø des pignons planétaires.

Un report du câble fixé sur le disque orange simplifierait l’accrochage de la charge.

Application au fonctionnement des alternateurs actuels : (avec une adaptation de l’alternateur).

> Actuellement nous savons que la charge d’un alternateur, s’oppose à la motricité par un couple mécanique sur l’axe de l’alternateur. Dece fait, le moteur assume les pertes mécaniques, plus cette puissance mécanique d’opposition au fonctionnement de la charge électrique pour garantir (ω).

> Avec le système d’engrenages entre le moteur et l’alternateur, le couple réactif ne pourrait plus s’opposer à la motricité. Le moteur n’assumerait que les pertes mécaniques, bien que l’alternateur soit en charge. Cela faciliterait le fonctionnement de la charge électrique.

DEUXIÈME PARTIE

APPLICATION À L’INDUCTION ÉLECTROMAGNÉTIQUE

Les différentes formes d’énergie, les potentiels ne sont pas représentés.

Nous avons l’habitude de considérer une infime partie d’un ensemble très vase quand nous raisonnons sur l’énergie. C’est suffisant pour les calculs en physique. Cependant il faut se rappeler que l’énergie se manifeste dans des centrales hydrauliques, thermiques, photovoltaïques, éoliennes, marémotrices

Ainsi, les potentiels d’énergiesont : l’eau, le charbon, le pétrole, la gravité, les électrons, le vent, le soleil, … Donc des cycles de la nature, de l’atome, de la terrestres, c’est-à-dire les nombreux cycles de l’univers interconnectés.

Si c’était possible de remonter tous ces cycles jusqu’à la supposée origine, la question resterait posée :

Quelle était le potentiel d’énergie à l’origine de l’énergie du (dit) Big-Bang ?

Car c’est bien cette unique énergie, qui par transformations en différents potentiels, retransformés successivement, qui est actuellement présente dans tout l’univers sous différentes formes. Aucune autre énergie n’a été créée ni détruite, au présent.

À notre connaissance, l’énergie n’existe, ni au passé, ni au futur. Si elle appartenait au passé (sans existence), elle serait détruite. Si elle appartenait au futur (sans existence), il faudrait la créée. Or elle ne peut être créé en idétruite. De sorte que l’énergie de la genèse n’acessé d’augmenter son entropie au présent.

L’ÉNERGIE C’EST QUOI ?

L’académie des sciences a codifié quatre interactions fondamentales. Elles décrivent tous les phénomènes physiques, qui se manifestent dans l’Univers :

✔ L’interaction gravitationnelle qui s’exerce entre les corps massiques.

✔ L’interaction électromagnétique qui s’exerce entre les corps électriquement chargées.

✔ L’interaction forte qui explique la cohésion du noyau atomique.

✔ L’interaction faible qui se manifeste dans certains cas de radioactivité.

Ces forces ne sont pas l’énergie. L’unité d’énergie est le Joule (J). En électricité l’unité de puissance est le Watt (W). 1W = 1 J/s. Le Joule et le Watt, sont des valeurs mathématiques.

Clarifications nécessaires sur l’énergie qui est une phase de transformation au présent :

L’énergieest une transformation au présent, de matière, de position ou de valeur d’un vecteur, d’un état primaire à un état secondaire. Il est impossible de conserver cette transformation, car il est actuellement impossible de conserver le temps. Nous conservons le potentiel après transformation.

De même que le temps, l’énergie ne peut être créée n’y détruite.

Je préfère dire que je constate ou que je remarque l’énergie, qui est une phase de transformation.

Le temps ou espace-temps est une notion non encore définie.

En résumé, nous ne savons rien du temps qui est un facteur intrinsèque de l’énergie et inversement, l’énergie fait partie intrinsèque du temps.

Précisions nécessaires sur la terminologie : Les termes ambigus peuvent être mal interprétés :

> Utiliser, c’est aussi user et nous ne pouvons pas détruire ni créer l’énergie .

> Profiter, risque d’être interprété comme un gain et l’énergie n’est pas une quantité conservable.

> Capacité, risque d’être interprété comme une contenance. L’énergie ne peut pas être contenue.

> Quantité, l’énergie (phase de transformation au présent) n’est pas une quantité.

Exemples de phrases ou les termes «profit, quantité et prendre» sont ambigus.

> La levée d’une charge par poulie avec contrepoids facilite un profit d’énergie.

Moins ambigu : La levée d’une charge par poulie avec contrepoids facilite la levée du poids.

>Avec les systèmes à contrepoids, le poids en monté prend une quantité d’énergie potentielle qui est compensée par la quantité d’énergie que perd le contrepoids.

«Prendre» est révélateur de la façon dont on se représentante l’énergie. il est impossible de prendre la phase de transformation des vecteurs degravité (en ce cas) en mouvement,qu’est l’énergie.

L’énergie est une valeur mathématique intrinsèque au temps, non une quantité matérielle.

Bien entendu, après mouvement le poids (ou vecteur de gravité) redevient un potentiel.

Moins ambigu : Avec les systèmes à contrepoids nous constatons une facilité à la levée d’un poids qui est compensée par la descente du contrepoids.

Il faut discerner cette interprétation terminologique, pour comprendre les explications suivantes.

Deux des forces fondamentales de l’univers, qui sont, la force électromagnétique et la force de gravité, ne présenteraient-elles pas les mêmes phénomènes dans des situations similaires ?

À savoir : Si l’équilibre de la réaction (gravité) à la levée d’une charge, facilite cettelevée; l’équilibre de la réaction (couple mécanique opposé à la rotation,conséquence de la fcém) à l’utilisation d’une charge électrique couplée à un alternateur, pourrait-il aussi faciliter le fonctionnement de cette charge ? Cette deuxième partie est une hypothèse consacrée à cette interrogation.

HYPOTHÈSE D’UNE ÉNERGIE ÉLECTRIQUE FACILITÉE

Schématique des phénomènes physiques avérés dans les alternateurs actuels à aimants permanents pour simplifier.

La F.ÉM. existe, grâce à Φ variant au présent grâce à ω, la fém n’est pas l’énergie, c’est un potentiel électrique exprimé en volts, maintenu au présent.

Je désigne le Couple Mécanique Réactif opposé à la rotation (ω), par l’abréviation (CMR).

Si le CMR était équilibré sur lui même, la motricité serait égale aux pertes mécaniques nécessaires à la rotation de l’axe de l’alternateur quand il est en charge. Nous constaterions une plus grande facilité au fonctionnement, d’une charge électrique. Car le CMR, serait incapable de s’opposer à la motricité.

Avantage espéré :

>Fonctionnement facilité d’une charge électrique. Car l’induction instantanée serait maintenue sans opposition du CMR.

> Actuellement nous savons que :

> Le moteur assume les pertes mécaniques et le CMR, pour maintenir (ω).

> L’induction instantanée est effective tant que ω est maintenu.

> L’énergie électrique est effective grâce à l’induction maintenue instantanée par (ω).

> Le CMR est effectif que l’induit ou l’inducteur soit sur le rotor ou le stator.

Nous savons que l’induction électromagnétique d’un alternateur en charge, est maintenue par le delta de (t) en un delta dephi, grâce à la rotation(ω). Si (ω) n’existe plus il n’y a plus d’énergie électrique.

Le champ magnétique constant n’est pas une force, mais il engendre une force lorsqu’il interagit (perturbe) avec d’autres matériaux magnétiques ou des courants électriques. C’est un peu comme une région d’influence où les objets sensibles au magnétisme ressentiront une force. Avec des aimants permanents ce champ magnétique ne demande pas d’énergie pour exister.

Pour équilibrer le CMR :

Je libère le stator qui devient rotor.

Le CMR (flèches rouges) interagirait entre le rotor induit et le rotor inducteur, pour s’oppose r(figer les rotors) au différentiel de rotation (≠ω en rad/s) entre les rotors.

Nous aurions deux couples égaux et de sens opposé (+CMR/2) et (-CMR/2 opposé à la rotation) surchaque rotor.

Sous condition que les rotors aient la même inertie. Le couple opposé à la rotation a le signe mathématique (-).

Le couple (+CMR/2) a pour force (+F’) et pour puissance (+P’)

Le couple (-CMR/2) a pour force (-F) et pour puissance (- P).

Les deux couples CMR/2, peuvent-être équilibrés dans des engrenages :

> Le rotor mauve recevrait le CMR en soustraction à (4ω) et le rotor orangeen addition à (4ω). Ces valeurs (+CMR/2) et (-CMR/2), s’équilibreraient dans l’épicycloïde.

Avec : (|F| = |F’|), les rayons respectivement égaux et le (≠ω) commun entre les rotors, nous avons :

Σ des CMR/2 = (F’*r*4ω) + (-F*r*4ω) = 0

Le CMR serait alors incapable d’influencer la motricité, qui n’assumerait que les pertes mécaniques des engrenages. Un engrenages épicycloïde actuel a 2,5 % de pertes.

La motricité devrait donc compenser, (2,5*2=50%) des 100 % de puissance actuellement fournie, pour maintenir (4ω), entre les rotors, bien que la charge soit effective.

>Il est mécaniquement impossible que les rotors tournent en sen inverse. Cela détruirait le mécanisme.

>Les deux polarités des aimants permanents sont efficaces, là ou actuellement une seule polarité magnétique l’est. Cela devrait augmenter la puissance fournie pour le même encombrement actuel.

> 50% de pertes mécaniques, car la couronne bleue et l’axe orange restent immobile en équilibre.

Les deux rotors orange et mauve, doivent avoir la même inertie.

Car si deux masses libres interagissent entre elles par deux forces égales et opposées, indépendamment de toute interaction extérieure ; pour que ces deux masses aient la même puissance d’interaction ; il faut que l’inertie de chaque masse soit égale.

Dans le cas contraire il y aurait un déséquilibre dynamique entre les masses, que la motricité, devrait assumée. Ce serait donc un échec.

Un stabilisateur du rotor orange, permettrait d’amortir les brusques variations de charge de l’alternateur bis-rotors ; ainsi que les vibrations à vide, causées par les alternances magnétiques Nord et Sud, face au circuit magnétique des bobinages induits.Les tabilisateur ne pourrait passer et rouver en butée sur la carcasse car les couples antagonistes seraient toujours égaux et opposés.

« D’OÙ VIENDRAIT L’ÉNERGIE »

C’est ambigu, une action, intrinsèque au temps, qu’est l’énergie, ne peut se déplacer d’un endroit à un autre. L’énergie se propageau présentinstantané. L’énergie à l’instant (t) àun endroit, n’est pas conservé pour ce retrouver à l’instant (t’) à un autre endroit. À l’instant (t’) c’est une autre énergie dû à la propagation, au présent.

Si non nous pourrions conserver le temps et le faire se déplacer. Le temps et l’énergie ne peuvent pas se conserver ni se déplacer.

C’est le potentiel qui se conserve, se propage ou sedéplace. L’onde électromagnétique propage un potentiel immatériel, le déplacement de matière déplace la matière avec son potentiel d’énergie.

Un potentiel d’énergie a un sens, c’est la capacité (disposition, aptitude) à manifester l’énergie.

En physique, une énergie potentielle est une absurdité. L’énergie ne peut pas être une capacité potentielle physique latente. Car elle est l’action de transformation indissociable au présent. À notre connaissance, une action ne peut pas continuer d’exister au passé ou déjà exister au futur. Passé et Futur temporels, nous sont inaccessibles et inconnus.

Reformulé :

QUELLE(S) CAUSE(S) MANIFESTERAIT(ENT) L’ÉNERGIE (au présent)

> Nous savons que la force (fondamentale) de gravité manifeste son énergie quand nous la perturbons. Nous pouvons alors constater son énergie sans l’affaiblir, tant que la masse, à l’origine de cette force, existe. La cause est donc la perturbation de cette force de gravité.

> Nous savons que la force (fondamentale) électromagnétique manifeste son énergie quand nous la perturbons. Nous pouvons alors constater son énergie sans l’affaiblir, tant que les éléments factoriels, à l’origine de cette force existent. La cause est donc la perturbation de la force électromagnétique.

> Nous savons qu’une force électromagnétique se propage avec son potentiel d’énergie.

>Nous savons que le potentiel d’énergie, des forces électromagnétiques, n’est relativement pas affaiblit par cette propagation elle même.

Aucune ambiguïté dans l’expression «sepropager avec son potentiel d’énergie», c’est possible en ce cas sans énergie supplémentaire. Car le potentiel est une possibilité immatérielle à manifester une valeur mathématique d’énergie.

Par-contre, transporter une quantité de matière nécessite de l’énergie, pas son potentiel énergétique.

En résumé :

L’environnement d’induction électromagnétique est identique aux alternateurs actuels, se qui garantie la possibilité d’énergie électrique.

La différence est dans la conception mécanique, qui équilibrerait le CMR, qui serait incapable de s’opposer à la rotation (ω).

Ce qui nous permettraitde constater la facilité de fonctionnementde la(es) charge(s) par rapport au fonctionnement des charges actuelles.

Mon raisonnement est rationnel, car basé sur des faits avérés.

Bien entendu ce n’est qu’une hypothèse. Sil’expérimentation restein contestable, l’interprétation peut toujours être contestée. Cependant la nature semoque bien de l’interprétation que nous lui accordons.

CALCULS THÉORIQUES

L’environnement électromagnétique est identique aux alternateurs actuels. Je peux donc me référencer d’un alternateuractuel à aimants permanents. D’une puissance de200 KW sous 220 V à 1200 t/mn.

_ Rendement alternateur : 95% ( Leroy-Somer propose des rendements supérieurs à 95%)

_ Pertes mécanique dans les engrenages 50%.

_ Rendement moteurs 90%, (en 2008 Hitachi annonçait un rendement de 93%).

_ Vitesse moteur 300 t/mn => (ω) planétaire inducteur (4*300) = 1200 t/mn.

_ Puissance absorbée par l’alternateur bis-rotors : (200/95)*100 = 210,52631 KW

_ Pertes dans les d’engrenages : ((210,52631/95)*100)) – 210,52631 = 11,080 KW

_ 11,080 KW seraient nécessaires aux engrenages, pour faire tourner l’alternateur bis-rotors.

_ Puissance absorbée par la motricité : (11,080/90)*100 = 12,312 KW arrondi à 12,5 KW

Que la charge totale, soit divisée en une multitude de charges ou unique, le CMR dans l’alternateur bis-rotors, resterait équilibré, sans influencer la motricité. De ce fait une partie du courant de charge pourrait être utilisé pour auto-alimenter la motricité.

Si la motricité est alimentée par des accus, chargés par l’alternateur bis-rotors, le principe d’auto-alimentation reste fondamentalement le même. Cependant, il est plus facile d’en admettre la probabilité.

L’ÉLECTROMAGNÉTISME

En physique l’électromagnétisme est l’interaction entre des particules chargées électriquement, au repos ou en mouvement et les phénomènes électrique. Cette interdépendance est nommé champ électromagnétique. L’électricité amis en évidence sa relation avec le champ électromagnétique qui est intrinsèquement lié au potentiel électrique.

Un champ électrique est essentiellement un champ de force créé autour d’une particule chargée électriquement.

Un champ magnétique est créé autour d’une substance magnétique permanente ou d’un objet en mouvement chargé électriquement.

Un champ électromagnétique représente dans l’espace la force électromagnétique qu’exercent des particules chargées. Il est composéd ’une onde électrique et magnétique et donne naissance à une onde électromagnétique se propageant à la vitesse de la lumière.

Les champs électromagnétiques naturels sont la conséquence du champ magnétique terrestre statique et des charges électriques dans la haute atmosphère, la foudre, … Les champs électromagnétiques non naturels sont émis par des sources à très basses fréquences (lignes électriques, appareils électromagnétiques, …).

> La force électromagnétique ou forcede Lorentz, estla force subie par une particule chargée dans un champ électromagnétique

Le spectre électromagnétique : La longueur d’onde du courant alternatif (50 Hz) est de 6000 Km.

La question de savoir si le courant alternatif est une onde électromagnétique est très controversée.

Car le mouvement des électrons ne pourrait prétendument pas être assimilé à celui d’une onde. En revanche, ils génèrent bien, du fait de leur existence et de leur déplacement des ondes électriques et magnétiques, qui elles sont bien des ondes électromagnétiques.

Ces notions sont complexes, je me suis donc basé sur des phénomènes physiques actuels avérés pour construire mon hypothèse.

ANNEXE

Sans considération des pertes mécaniques, les engrenages transmettent la puissance qu’ils reçoivent.

_ Si l’axe orange est menant : en A c’est peut probable, que l’axe vert tourne. Toutefois le couple orange (Co) serait effectif sur l’axe mauve. En B : l’appui du pignon sur la carcasse bloquerait (Co), par déplacement antagonistes du porte-satellites 1 et 2 ; (Co) resterait effectif sur l’axe mauve.

A ou B donne le même résultat, (Co) effectif sur l’axe mauve.

_ Cas C Il faudrait un couple égal et opposé à (Co) sur l’axe mauve, pour équilibrer les engrenages.

Si l’expérimentation révèle le cas B, ce serait toujours similaire aux systèmes à contrepoids.

Même si la poulie est bloquée, le couple de la force orange reste effectif.

> Pour équilibrer le poids orange il faut un poids mauve égal et opposé.

>Pour mettre les poids équilibrés en mouvement, il faut alors appliquer une force sur le poids mauve, égale (ou supérieure) aux pertes mécaniques.

Les cas B et B’ sont similaires, bien qu’en B l’axe orange resterait immobile.

> Avec les engrenages le mode de blocage passe par le porte-satellites vert, à la place d’une butée en périphérie. L’avantage des engrenages, c’est le blocage à 360° dans les deux sens.

>Quand les systèmes à contrepoids sont en mouvement, le point d’applicationdes forces en équilibre se déplace sur la périphérie de la poulie pendant sa rotation.

>Avec les engrenages les points d’applications (dentures en prise) des forces se déplaceraient également à la périphérie des engrenages en rotation.

_Si l’axe mauve est menantenu, il mettrait en rotation l’axe vert. La couronne bleue et l’axe orange resteraient inertes. Car les pignons mauves et l’axe vert imposeraient (grâce à l’appui sur la carcasse) aux pignons 1 et 2 la même rotation et le même déplacement. De ce fait la couronne bleue resterait immobile, car la carcasse est immobile.

_ Si l’axe vert est menant en E, il mettrait en rotation l’axe mauve avec les mêmes effets qu’en D.

_En F : si les axes orange et mauve sont équilibrés par deux couples égaux et opposés, une motricité pourrait mettre en rotation (dans un sens ou un autre) l’axe mauve, sans être influencé par les couples antagonistes égaux, similaire aux systèmes à contrepoids.

_ Avec mon hypothèse les couples antagonistes seraient inévitablement toujours égaux.

LE STABILISATEUR

Plus les appuis du stabilisateur seraient éloignés de l’axe central, plus l’efficacité desamortisseurs ou des ressorts serait importante.

Report de parcours du câble pour treuil :

Un report du parcours du câble fixé sur le disque orange permettrait de simplifier l’accrochage de la charge.

Stabilisateur pour l’alternateur bis rotors :

Pour l’alternateur bis-rotors les tabilisateur devrait être efficace dans les deux sens, cars ont utilité serait principalement à vide. Bien que les couples antagonistes seraient toujours égaux et opposés.

FCÉM AVÉRÉE

Actuellement :

La F.C.É.M. d’un alternateur en charge, apourunité le volt, c’est le même phénomène d’induction électromagnétique que la F.É.M. LaF.C.É.M. semanifeste par un Couple Mécanique Réactif (CMR) opposé à la rotation ω.

L’énergie développée par le CMR est environ aux pertes totales près, égale à l’énergie transformée par la charge à l’extérieur de l’alternateur.

Actions des flux magnétiques inducteurs et des flux magnétiques réactifs schématisés.

Le flux magnétique inducteur est une fois en addition à ω, une fois en soustraction (opposition) à ω.

Le flux magnétique réactif est toujours en soustraction (opposition) à ω.

Flèches bleues sens de rotation ω.

Flèches rouges en soustraction à ω.

Les lignes de champ magnétiques s’orientent dans l’espace et dans la masse des circuits magnétiques, pour atteindre un pôle inverse ou s’opposer à un pôle identique.

La somme des effets du flux magnétique inducteur est égale à zéro, car une fois en addition et une fois en soustraction à ω.

Contrairement à la somme des effets du flux magnétique réactif qui est toujours en soustraction à ω.

Inventeur & Auteur : Monsieur Jacques Lefebvre – E-mail : j.lefebvre436@laposte.net


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