En 2011, j’ai déjà évoqué sur ce site, une redite du “ PPA : paradoxe du principe d’Archimède”, (dans un espace clos, le volume de liquide dans lequel est plongé le corps, peut être très inférieur au volume dudit corps,mais, la PA: poussée d’Archimède, est toujours la même).
La PA exprimée en Kg-force, est alors supérieure au poids du dispositif lui même, exprimée en Kg-poids ………………… Je pense avoir trouvé une utilisation de ce PPA…………………………..
J’ai imaginé, un dispositif cylindrique avec un flotteur, et un réservoir périphérique circulaire situé en partie basse, ou la force centrifuge a un rôle, ce réservoir devra changer de volume par une action mécanique, soit : au maximum ou à moitié de sa capacité.
Pour ce faire, j’ai du vérifié, que la mise en rotation sur son axe vertical, de la partie active de mon dispositif, n’affecte pas la PA ; à l’arrêt ou en rotation, la PA doit rester inchangée.
J’ai donc fabriqué un cylindre transparent,comportant un axe central, sur lequel coulisse un “flotteur”, avec sur sa partie supérieure un ressort, permettant de visualiser la PA.
Avec ce flotteur libre sur son axe central, situé dans ce cylindre transparent rempli d’eau, j’ai vérifié, qu’à des vitesses de rotations différentes, la PA était la même qu’à l’arrêt.
La partie active de mon dispositif tourne en permanence, le réservoir peut par une action mécanique, changer de volume, soit à moitié ou au maximum de sa capacité.
Au départ, lorsque le réservoir périphérique a son volume activé à moitié, le liquide, ( du Mercure pour un rendement maximum ), entoure entièrement le “ flotteur”, la PA exercée sur le haut du cylindre est maximale.
Puis, lorsque le volume du réservoir est activé au maximum de sa capacité, la force centrifuge déplace le liquide qui se trouvait autour du flotteur, dans la partie additionnelle dudit réservoir. La PA exercée sur le flotteur devient nulle.
De nouveau, avec l’activation du volume du réservoir en position moitié, le liquide est refoulé dans le cylindre, la poussée redevient maximale, et ainsi de suite.
On a alors une poussée pulsée , le flotteur agissant comme un “réacteur intermittent”.
La gravité devient l’élément moteur de cette poussée pulsée, l’énergie nécessaire à sa mise en œuvre consiste à maintenir une rotation constante de la partie active du dispositif et activer la commande mécanique de changement de volume du réservoir, de maxi à moitié.
En conclusion, on pourrait dire: Archimède, fils de Pascal, petit-fils de Newton : en effet, sans gravité pas de pression hydrostatique,sans pression hydrostatique pas de poussée d’ Archimède.
Auteur et inventeur : Étienne Bourgeois – Contact : etienne.c.bourgeois@gmail.com