Club Invention - Europe

L’évolution du Pôle invention régional de la Nouvelle Aquitaine


Cette période des vacances d’été, on a continué à développer le libre-service gratuit d’imprimantes 3D, du Pôle invention régional de la Nouvelle Aquitaine.

A ce jour, on a 5 Tronxy X5SA et 3 Tronxy XY-2 Pro Titan, qui fait en tout, 8 imprimantes 3D.

On a aussi une imprimante multifonction laser couleur professionnelle, format A3 et A4. Pour permettre d’imprimer les documents officiels, les dossiers, etc.

J’ai demandé au responsable de l’INPI de la Nouvelle Aquitaine, si on pouvait avoir les documents de l’INPI et sa réponse, impossible car tous les documents sont numériques et il m’a donné le lien du site de l’INPI. Même pas capable de me donner la page de téléchargement. Donc ceux qui n’ont pas de matériels informatiques pour pouvoir les imprimer, ils sont dans la merde. Cela comprend aussi pour eux, cela leurs donne moins de boulot. Au pôle invention régional de la Nouvelle Aquitaine, notre centre d’information, permet d’imprimer les documents directement pour simplifier les démarches. Cela montre encore une fois de plus du mépris de l’INPI envers la communauté des inventeurs et ils n’offrent aucun moyen pour les soutenir. Ils ne servent à rien à la communauté des inventeurs, à part prendre l’argent.

J’ai fait aussi une démarche envers la Chambre de Commerce et de l’Industrie, je pense que sa sera du même niveau que l’INPI, on fera la même chose, on va télécharger les fichiers et on les imprimera fut à mesure, selon la demande. D’où l’intérêt d’avoir une bonne imprimante laser couleur professionnelle et on est totalement indépendant.

On a aussi évoluer avec notre partenaire Tronxy, qui est un fabricant d’imprimantes 3D en kit, on va faire un atelier de montage d’imprimante 3D, un service gratuit et agréé par Tronxy, donc sous garantie. Pour permettre aux clients qui ne sachent pas monter une imprimante 3D, d’aller nous voir. L’avantage d’une imprimante 3D en kit, de pouvoir s’équiper pour le moins cher que possible, mais aussi, de pouvoir la faire évoluer dans le temps, car c’est ouvert, comme les PC.

On va faire aussi un atelier de réparation d’imprimante 3D, de Tronxy, comme on est agréé par Tronxy. C’est un test et on verra après l’évolution.

On réfléchit de faire un dépôt vente d’imprimantes 3D reconditionnées, pour permettre aux personnes de s’équiper le moins cher que possible. Déjà monté. Pour permettre de développer l’impression 3D, au plus large public. Cela permet de faire un club régional d’utilisateurs de Tronxy. Tout le monde sera gagnant dans ce type de projet.

L’année prochaine, je vais continué le développement de l’atelier de prototypage communautaire, Tronxy a développer une nouvelle imprimante 3D pour la céramique et qui est intéressant pour réaliser des pièces en céramique, j’ai déjà le four à céramique, pour permettre de cuir et les émaillées. Je ne sais pas pour quand, car j’ai prit du retard dans les travaux, de l’autre pièce, j’ai eu des surprises et je suis tout seul à faire les travaux, qui n’est pas simple. Dé que le local sera prêt, il aura de nouveau imprimantes 3D à résine UV et à céramique.

Cette année, je termine le développement du libre-service gratuit d’imprimantes 3D, au niveau du nombre d’imprimantes 3D, je suis à la moitié, il aura une Tronxy X5SA pour ce mois-ci en plus et par la suite, il aura 7 Tronxy XY-2 Pro Titan, pour la fin de l’année. En fin d’année, si tout va bien, il en aura 16 imprimantes 3D, j’avais prévu entre 10 à 12, j’ai dépassé le nombre que je me suis fixé. Je suis limité par l’espace et les Tronxy XY-2 Pro prennent deux fois de place que les Tronxy X5SA, ce qui explique le changement du nombre d’imprimantes 3D. Le nombre est important, pour permettre aux utilisateurs d’utiliser plusieurs imprimantes 3D, pour réaliser plusieurs pièces en même temps, de faire de la pré-série.

Je suis entrain de développer un service par un réseau Wi-Fi privé, pour permettre aux utilisateurs de contrôler leurs impressions 3D à distance, avec une tablette, si par exemple, un utilisateur a un stand à la vitrine des créations, il pourra contrôler son impression 3D sans se déplacer. Une impression 3D, cela prend du temps, selon la taille de la pièce, entre 6 à 72 heures. L’utilisateur ne va pas rester devant l’imprimante 3D. Cela permet aux utilisateurs d’être un peu plus libre, dans la limite du réseau WiFi privé. Sa des coûts supplémentaires, mais je pense que cela peu faire un plus et on n’est pas un Fab-Lab.

Le projet avance doucement, mais sûrement, pour un projet non subventionné, non soutenu, c’est déjà pas mal. Pour ceux qui intéresse de voir l’évolution, aller sur la page Facebook de l’association, il y a des photos fut à mesure de l’évolution.

A suivre !

Peter TEMEY, Président du Club Invention – Europe

Un commentaire sur “L’évolution du Pôle invention régional de la Nouvelle Aquitaine

  1. / Fabrication 3D
    La NASA envoie une imprimante 3D Moon Dust à la Station spatiale internationale

    Anna Wells 02 sept. 2021

    De temps en temps, la NASA envoie une capsule pleine d’articles apparemment aléatoires à la Station spatiale internationale. Au fil des ans, ces sacs à main ont tout inclus, de la pizza Pizza Hut au sabre laser de Luke Skywalker.

    Mais la plupart du temps, ces livraisons sont emballées avec les fournitures nécessaires aux astronautes pour mener des expériences critiques, c’est pourquoi l’équipage de la Station spatiale internationale vient de recevoir une imprimante 3D .

    Cette imprimante n’est pas la première à atteindre l’ISS, bien qu’elle soit unique. Selon les rapports, le dernier dispositif additif arrive à l’appui du projet Redwire Regolith Print. Cet effort vise à prouver la capacité d’utiliser le régolithe, qui est essentiellement un matériau à la surface de la lune composé de sable et de roches, comme matériau d’impression 3D.

    Les scientifiques pensent que s’ils peuvent prouver la capacité d’imprimer avec du régolithe, cela ouvre des portes pour les futurs efforts de colonisation. Par exemple, si des tests de suivi sur le régolithe imprimé en 3D prouvent que le matériau est suffisamment durable, cela pourrait permettre aux futurs colons de construire des structures sur place dans l’espace, au lieu d’expédier des matériaux lourds et coûteux comme le béton ou l’acier vers la lune.

    Ou… vers Mars. Parce que le projet Redwire Regolith n’est pas seulement satisfait des efforts spécifiques à la Lune – les astronautes veulent également découvrir si l’impression régolithe pourrait également être réalisable sur la planète rouge.

    Les tests intégreront une autre imprimante 3D, baptisée Made In Space Manufacturing Device, qui a déjà été impliquée dans de nombreuses expériences de fabrication additive sur l’ISS.

    La NASA a également déjà mené des expériences ici sur terre, y compris celles qui utilisent du régolithe simulé. L’automne dernier, la NASA a annoncé qu’AI SpaceFactory – une entreprise de technologie de construction qui a remporté le 3D Printed Habitat Challenge de l’agence – travaillerait avec le Kennedy Space Center pour « faire mûrir de nouvelles technologies de construction planétaire ». Selon le fondateur d’AI SpaceFactory, David Malott, « l’impression 3D avec des ressources locales est une alternative beaucoup plus durable à la construction avec du béton et de l’acier », et que la technologie en cours de développement pourrait même « changer la donne pour la façon dont les choses sont construites sur Terre ». « 

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