Electroniques et Electriques

Une autre source d’électricité, une idée à saisir d’urgence !


L’autre source de production d’électricité proposée ici est de type « énergie mécanique », c’est-à-dire propre et totalement renouvelable.

Son fonctionnement s’inspire de celui utilisé pour le ralentissement des véhicules lourds par création d’un courant de Foucault.

L’énergie mécanique du procédé s’obtient à partir d’un moteur, au mieux électrique, qui entraine un mécanisme rotatif dont la particularité est de déséquilibrer le système de forces qu’il crée sous la forme d’un couple moteur additionnel, lequel agit sur l’axe de rotation du moteur d’entrainement. Le rétablissement à l’état d’équilibre du système est alors assuré en ajoutant à ce mécanisme un couple moteur électromagnétique de sens opposé ; d’où production d’électricité.

Plus concrètement, l’ensemble sera constitué de quatre éléments principaux :

1 – Un moteur d’entrainement,

2 – Un mécanisme fournisseur d’un couple moteur additionnel, illustré par le schéma de principe « Accélérateur Mécanique Inertiel »,

3 – Un alternateur, ou similaire, pour s’opposer à ce couple additionnel,

4 – Un régulateur de charge électrique pour piloter la valeur de cette opposition.

A partir de ce schéma, une production d’électricité permanente et directement utilisable est envisageable au même titre qu’avec celle d’une machine électrogène classique. La consommation d’énergie de l’ensemble, en dehors de la phase de démarrage, n’est que celle nécessaire à l’entretien en rotation du moteur d’entrainement à une vitesse donnée.

Accélérateur Mécanique Inertiel

DÉFINITION

L’Accélérateur Mécanique Inertiel ou « AMI » est un dispositif mécanique rotatif dont le but est de créer un couple moteur qui vient s’ajouter à son couple moteur d’entraînement.

CONCEPT

ami_1_2016

L’observation du montage de la figure 1 montre qu’à sa mise en rotation l’extrémité des leviers inertiels qui s’appuient sur le support tournant en opposition directe y crée un effet de tenaille, mais aussi l’effet inverse sur les axes d’articulation. Ils initient un système de forces en équilibre qui est fonction de la masse des masselottes, de leur vitesse de rotation, ainsi qu’au rapport de longueur des bras de leviers.

L’AMI est conçu pour utiliser ces forces appliquées sur le support tournant, lesquelles s’annulent de par leur opposition directe, afin de les transformer en couple moteur ajouté, tel qu’illustré dans le principe sur la figure 2.

ami_2_2016

Le déplacement de l’appui des extrémités des leviers sur le support tournant par rapport à l’axe transversal de rotation montre bien cette transformation de l’effet de tenaille initial en couple moteur ; il en est de même pour ce décalage au niveau des articulations. Ces couples viennent s’ajouter au couple d’entraînement du dispositif ; l’un agissant en poussée sur le support tournant, l’autre en traction. Contrairement à leur configuration initiale d’opposition directe, chaque levier initie un couple-moteur autour de l’axe du support tournant.

Ces couples ajoutés, livrés à eux-mêmes, auraient pour conséquence directe un déséquilibre de la répartition des forces appliquées.

Pour pallier ce déséquilibre et utiliser la création de ces couples moteurs additionnels, l’AMI utilise deux moyens :

1 – Afin que l’accélération du support tournant due à ces couples n’influe pas sur la vitesse de rotation du moteur d’entraînement, l’AMI est accouplé à ce dernier par un système de roue libre.

2 – Pour rétablir l’équilibre du système de forces, un couple résistant tel que celui fourni par une machine électrogène est opposé à ces couples moteurs additionnels.

Pour une vitesse de rotation donnée, sa valeur devra atteindre celle du système de forces initié par les masselottes sur le support tournant lorsque les leviers inertiels sont montés en opposition directe comme sur la figure 1.

A l’aide de ces moyens, le système de force ajouté appliqué sur le support tournant permettrait à l’AMI de prétendre à fabriquer de l’énergie électrique à bas prix (cf. Schéma de principe, figure 3).

ami_3_2016

L’application d’une force sur les leviers s’effectue à la mise en rotation du support tournant relié à une barre transversale qui reçoit les bras de traction rattachés aux masselottes, lesquels bras sont montés de manière à pouvoir y coulisser librement (cf. coupe 3 de la figure 3). En dehors de sa mission d’entrainement en rotation, cette barre assure le maintien en alignement des leviers inertiels par rapport au support tournant.

A noter que dans cette configuration, il est impossible que le système se déploie. Il se maintient dans la même position que celle qu’il aurait si les bras et les articulations se trouvaient en opposition directe comme sur le montage de la figure 1.

Quelques données conceptuelles repère : Par rapport à l’axe de rotation, l’angle formé par le bras de levier en appui sur le support tournant sera au moins inférieur à 30°. Sa longueur sera inférieure à l’autre bras. Prévoir une configuration de levier résistant à la flexion.

Prendre contact avec l’inventeur : Monsieur Christian Rougeaux

– Par E-mail : chrgx@wanadoo.fr

C'est à vous !

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.