Prototypage Rapide

La Tronxy CRUX 1, la mini Pro qui garde de bonne surprise


Bienvenue à la nouvelle Tronxy CRUX 1, dans la vitrine des imprimantes 3D, du Pôle invention régional de la Nouvelle Aquitaine.

Une partie de la vitrine des imprimantes

C’est une imprimante 3D qui m’a vraiment surpris par sa qualité de fabrication, par ces options et par sa simplicité d’utilisation. En théorie, j’avais plutôt pensé à un jouet et quand j’ai découvert en réalité, j’étais vraiment surpris et je suis content que ce modèle soit dans le libre-service gratuit pour tout le monde, car ils peuvent découvrir que cette imprimante 3D, à beaucoup de surprises cachées.

La Tronxy CRUX 1
La Tronxy CRUX 1

A tel point, je n’ai pas trouvé de défaut et j’ai trouvé des points positifs :

– Le mouvement X et Y, sur raille linéaire, comme sur une imprimante 3D Pro de chez Tronxy, il y a que le Z, qui est sur roulement classique.

– L’extrudeur en Direct Drive, qui veut dire qu’on peut imprimer des objets en matière souple.

– Le menu, le micro-logiciel est multilingue, donc en français et de conception simpliste.

– La connectique, lecteur de carte micro SD, un port imprimante pour permettre de le brancher directement à l’ordinateur sous Windows et un port USB, qui est nouveau chez Tronxy, pour permettre de brancher une clés USB, un disque dur externe. L’emplacement est enfin devant et cela simplifie son utilisation, fini l’emplacement derrière l’imprimante 3D, pas facile d’accès.

– Elle est très compacte et il y a une poignée de transport, donc on peut la ranger dans un meuble, on peut la transporter facilement et donc mobile.

– La taille de l’impression 3D, 180 mm sur 180 mm pour le plateau et 180 mm en hauteur, vue la taille de l’imprimante 3D, c’est vraiment très bien.

– Le plateau est en verre traité, comme sur les versions Pro de chez Tronxy.

Au niveau des options, il y a la reprise de l’impression 3D, après une coupure d’électricité, il y a un détecteur de filament, un écran tactile en couleur, sous 24 Volts, donc cela monte en température rapidement, que cela soit pour la buse et le plateau. Il n’a pas l’autonivellement du plateau, vu le format du plateau, cela n’est pas une obligation.

Mon avis personnel, c’est une petite imprimante 3D que je la mettrai dans la catégorie Pro, vu les options et la qualité.

Je la conseillerai pour un débutant, pour une personne qui fait de petite impression 3D, idéal pour une école.

Le coût va de 264 euros à 176 euros (tarif promotionnel), c’est vraiment une bonne affaire et on peut la trouver partout en vente, sur Internet (FNAC, AMAZON, etc.), bien-sûr sur le site de Tronxy directement.

Pour ceux qu’ils ne sont pas loin du Pôle invention régional de la Nouvelle Aquitaine, ils pourront la tester librement et gratuitement, ils pourront se faire une idée par eux-mêmes, c’est la meilleure méthode et aussi, de pouvoir la comparer avec d’autres imprimantes 3D. Pour les débutants, on propose un stage découverte d’impression 3D, qui est aussi gratuit, pour qu’ils puissent avoir une base dans l’impression 3D, c’est un stage individuel, d’une durée d’une après-midi et adapté à leurs besoins.

Auteur et photos : Peter TEMEY, Président du Club Invention – Europe

4 commentaires sur “La Tronxy CRUX 1, la mini Pro qui garde de bonne surprise

  1. ma buse elle bouchee en voulant la defaire ele trop serree j’ai defais les fil .avec quelle colle il etais attachee????

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    1. Bonjour Georges,

      Pour défaire une buse d’une imprimante 3D, il faut faire chauffer la tête, car à l’intérieur de la buse, il reste du filament et qui bloque pour déviser la buse.

      En chauffant la tête, cela permet au filament qui reste dans la buse d’être souple et de pouvoir la déviser plus facilement.

      Au niveau de la tête d’impression, il n’a pas de colle et je n’ai pas compris.

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    1. Pas compris, vue votre niveau, je doute que vous avez les compétences minimums pour utiliser une imprimante 3D.

      Une tête d’impression 3D est simple comme système et sur la Tronxy CRUX 1, c’est un système qu’on appelle un Direct Drive et c’est du classique.

      Dans Google, en cherchant Direct Drive, tu peux trouver facilement des vues éclatées du système.

      Tu as l’extrudeur au haut et en bas, la tête d’impression.

      L’extrudeur pousse le filament, le filament va dans la tête d’impression pour fondre le filament et cela sort au niveau de la buse.

      C’est un système très basique dans l’impression 3D, que beaucoup de fabriquant d’imprimante 3D utilise.

      Au sujet du conseil, déjà tes sur un site communautaire d’inventeurs et on est bénévolat et la moindre respect que tu peux avoir, c’est de parler correctement.

      Cela nous permet de comprendre et de pouvoir y répondre.

      Sachant qu’on n’a aucune obligation de te répondre, tes ni membre de l’association, on ne touche aucune subvention de l’état, etc.

      Donc le minimum qu’on demande, un minimum de respect envers le support et les bénévoles.

      Au sujet de la Tronxy CRUX 1, il n’a pas de problème, comme toute imprimante 3D chinois, si on respecte son utilisation.

      Comme toute imprimante 3D chinois, c’est du matériel pour amateur et non professionnel, qui veut dire qu’il y a des limites.

      En achetant du matériel chinois, il n’a pas de support technique de qualité et vue le prix, il ne faut pas rêver. Donc tes exigences doivent être limitées au prix que tu as payé et c’est une question de bon sens.

      Quand on achète se type de matériel, comme tout produit chinois, il faut avoir un minimum de connaissance de base pour réaliser soi-même la maintenance de sa machine.

      Tronxy n’a rien à voir avec ton incompétence dans la maintenance de base. Surtout pour changer une buse d’une imprimante 3D, c’est tellement banale et pas besoin de tout démonter la tête d’impression pour cela.

      Il existe des Fab-Lab locaux qui peuvent t’apprendre à utiliser correctement une imprimante 3D.

      Dans notre association, on fait des stages découvertes gratuits et de la maintenance et réparation. L’utilisateur ne paye que les pièces de rechange, sauf si cela rentre dans la garantie et qu’avec des fabricants d’imprimante 3D qu’on est en partenariat avec eux. C’est un service local !

      Dans notre atelier communautaire, on fait nous-mêmes la maintenance de nos machines, on était obligé de le faire, pour garder les services gratuits.

      Que notre atelier de maintenance peut être utile à d’autres personnes, c’est une bonne chose.

      A titre personnel, j’utilise l’impression 3D depuis 1994 et je suis diplômé entant que technicien en informatique. De 1995 à 2000, j’étais secrétaire de l’Association Française du Prototypage Rapide (AFPR) et je n’ai pas attendu la mode de l’impression 3D pour en faire. Depuis longtemps, j’utilise l’impression 3D pour réaliser mes prototypes.

      La Tronxy CRUX 1, j’en ai une dans l’atelier communautaire et donc je la connais bien. C’est une bonne petite imprimante 3D pour faire de l’impression 3D occasionnelle, idéal pour réaliser des petits prototypes et surtout avec le système Direct Drive, sa permet d’utiliser du filament souple.

      Ce n’est pas une imprimante 3D dite professionnelle, dans le sens qu’on peut faire des impressions 3D à la suite, non stop, qu’elle puisse fonctionner 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. C’est pour cela qu’on appelle cela une machine d’amateur, pour faire de l’impression 3D occasionnelle.

      C’est des machines qui a besoin de faire des pauses, de faire des contrôles souvent, niveau du Z, etc.

      Cela pour dire, que si on respecte les procédures d’utilisation, ce sont du bon matériel et comme c’est une base basique, on peut la faire évoluer facilement, par rapport à du matériel professionnel, qu’on est obligé d’acheter chez le même fabricant pour les pièces de rechange, comme Apple dans le monde de l’informatique. Les imprimantes 3D chinois, c’est comme du PC dans le monde informatique, on est libre de prendre des pièces détachées chez d’autres fabricants et de la faire évoluer comme on veut, selon les besoins.

      Mais il faut avoir un minimum de connaissance pour pouvoir le faire, comme en informatique, avoir une base de connaissance.

      Bien souvent, l’erreur est plus chez l’utilisateur que le matériel en question.

      Parler en chinois, avec mépris, cela ne nous stimule pas en savoir plus sur ton problème.

      Comme je t’ai dis, pour changer une buse, il faut chauffer la la tête d’impression 3D, idem pour changer de filament. C’est une procédure basique dans l’utilisation d’une imprimante 3D et si tu ne sais pas ces bases, arrête l’impression 3D, car ce n’est pas fait pour toi. La Tronxy CRUX 1 n’a rien à voir avec ton incompétence.

      Nous, comme d’autres utilisateurs, pour avoir des pièces détachées pas cher, on va sur Aliexpress et il y a du choix.

      Je te conseille d’aller voir un Fab-Lab local et de suivre une formation de base.

      Cela te permettra de parler correctement et aussi, va à ta Mairie pour voir s’il n’a pas une association pour t’apprendre le savoir vivre, le respect des autres, etc. Car on n’est pas tes esclaves bénévoles.

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