À mon avis une des façon de lutter contre l’effet de serre passe irrémédiablement par la technologie et pour cela il faudra être imaginatif et engendrer une véritable seconde révolution industrielle. Plusieurs gouvernements ont adopter le protocole de Kyoto pour guider leurs choix et en arriver à sauver la planète mais d’autre pays comme le mien en ce moment le Canada dont je ne suis pas fier du tout en ce moment ne voie pas l’urgence d’agir et ne voie même pas l’opportunité insoupçonné de nouveaux marchés qui en découlent. Pourquoi rester à l’âge de pierre quand on peut affronter de plein fouet les défit du 21ème siècle.
Voici donc quelques propositions ou choix de société qui pourrait nous permettre d’atteindre et même de surpasser ces objectifs tout en développant de nouvelle perspective pouvant régler du même coup d’autres problèmes.
1. Développer et construire des robots à réalité virtuelle
On imaginait souvent l’avenir avec des robots qui prendrait la place des humains; pourquoi pas mettre l’accent sur le développement de robots à réalité virtuelle. Contrairement aux robots conventionnels qu’on imaginait, ces dernier seraient des véhicules pilotés par des être humais. On n’a pas à développer d’intelligence artificielle pour cela.
1.1 Le marché
Au lieu qu’il y aient des milliers de personnes qui se rendent travailler chaque jours et qui encombre le réseau routier, les entreprises eux-même (ou les travailleurs) achètent leurs robots à réalité virtuelle qu’ils laisseront au travail et qu’il piloteront à partir de leurs domiciles.
1.2 La forme de ces robots
La forme de ces robots peut être diverse pouvant aller de simple système informatique avec ou sans caméras et système d’intercommunication à des robots de type humanoïde ou autre pouvant s’adapter au type de travail intellectuel ou physique. Il faudra prévoir le déplacement éventuel dans le lieu de travail et l’interrelation avec les autre travailleurs et les clients.
1.3 Le résultat souhaité
Dans la continuité du télé-travail qui est de plus en plus populaire et qui permet de réduire la circulation automobile, nous pouvons espérer réduire substantiellement la circulation automobile pour le travail.
1.4 Qui va payer ?
Le coût du transport est déjà très dispendieux, je pense que l’économie en coût de transport pourra largement combler cette différence. Il y a aussi le fait de décongestionner les routes et éliminer les besoins toujours grandissant de construire de nouvelles routes, nouveaux ponts etc. La diminution de la pollution y est aussi pour beaucoup, diminution des frais de santé etc.
1.5 Autres avantages
Piloter un robot permettrait aux personnes handicapés de reprendre le marché d’un travail, d’améliorer leur qualité de vie.
2. Construire des véhicules intelligents
Une autre des solutions pour réduire les gaz à effet de serre est de permettre la fluidité du trafic. à tous les jours on assiste à des bouchons de circulation dont les véhicules fonctionnent inutilement pendant de nombreuses minutes sinon des heures. Un des principes serait la constructions de véhicules et d’infrastructure routière intelligente avec des antennes émettrices le long des routes pour définir la cadence ou vitesse et l’échange entre les véhicule de donnés sur leur trajectoire pour éviter toute collision à vitesse fixe sans ralentissement. Conscient que cette technologie est plus difficile à réaliser par étape, il ne demeure pas moins que l’attitude de nos gouvernements et corps policier pourraient commencer à changer en ce qui a trait à la vitesse. Au lieu de favoriser la fluidité du trafic, ils crée eux-même des bouchons, en surveillant la vitesse comme seul critère et non pas du style de conduite adopté par les automobilistes. La prudence est une chose, mais la fluidité est un point essentiel pour le contrôle de la pollution.
3. Conclusion
Plusieurs solutions sont envisageables pour diminuer les gaz à effet de serre, je vous ai présenté 2 solutions seulement pour le moment mais en plus de sauver notre planète elle pourrait à coût sur être une grande opportunité et peut être une vrai mine d’or pour les sociétés qui vont s’engager à fond dans le développement des solutions à long termes.
Auteur : Daniel Mailloux ing.